vendredi 13 un jour qui sonne comme le glas,rien que de le citer les poils se hissent sur les bras,le sang se glasse quand ont arpentent les couloirs lugubres lors de la visite des plateaux d'holiwood, ses immences hangards éclairer par des lumières aveuglantes projetant des faiseaux lumineux sur nos pas comme si nous n'étions déjà plus de ce monde a chaques coin des ombres casquées surgissaient sur des rails avec leurs attirailles et disparaissaient au fur et a mesure que les portes se fermaient, parfois des voix suaves comme venues d'outre tombe criant a tue tète "couper",couper",perché sur une échelle à plusieurs mètres du sol scruptait l'horizon pour capter le moment idéal pour faire surgir du néant des créatures insoupçonnable de frayeurs qui nous figent sur place,dans un fracas étourdissant de bruits de tonnères qui rendent l'atmosphère ingérable puis l'éclairage prend de l'ampleur innondant le plateau de bleu nuit, passant au noir corbeau où de blanc hypnotisant puis un nuage de vapeur nous projettent dans une ambiance de mort vivant,pris de panique dans se décor surnaturel ont s'éloigne en évitant de se perdrent dans ce labirinthe de salles combles,mais au contraire après avoir cru ètres à l'abrit, le pis allait arriver? nous croyant loin de ses horreurs nous n'aviont pas fait mieux que de nous retrouvées au beau milieu d'un groupe d'où personnes ne savaient par où ils étaient entrés certains ressemblaient à la mort plus effrayants encore que se que l'ont avaient fui ils s'amusèrent de notre peur tout en nous entrainant dans un silence mortel laissant entre voire des armes peu orthodoxes prèt a nous réduire aux moindres mouvements a leurs égards ont étaient loins de se douter que la manupulation de notre espris allait nous faire passer un mauvait quard heure,sous l'emprise de ses démonts qui par leurs jeux sordides nous avaient conduit dans une salle ou les murs ornés de torches étaient en pierre comme une cripte au centre un hotel dédié au diable,personne ne pouvais s'évader nous étions tous enchainés les uns aux autres nos vétement n'étais plus ceux que nous portions mais des vieilles frippes a demi décomposées par le temps nous étions devenu des appats pour servir d'offrande a leur cause "le mal" ont avaient beau crier personnes ne pouvaient nous entendre car aucuns sons ne parvenaient a sortir de notre bouche,combien de temps encore avant notre fin émminente celà pourait durer longtemps dans ce temple qui comme gardiens des serpents et des rats noir a fuire comme la peste, des cranes jongent le sol ici et là,soudains des bruits de pas s'approchent des prisonniers l'heure a sonné pour un de nous,un vent léger vient nous effleurer comme si des fantomes venaient nous délivrer de cette emprise en sommes ce sont les acteurs qui nous avaient trouvés endormis épuisés et titanisés par la peur notre imagination avait fait le reste,mais une chose est sur c'est que l'on étaient sauvés des griffes d'un prédateur depuis j'évite de passer sous une échelle ,de croiser un chat noir,de décroiser des ciseaux en mettant le pied avant de les ramasser et surtout ne pas casser de miroirs alors je ne sais pas comment ont peu penser que pour certains vendredi 13 est un jour de bonheur......bonne chance
