Penser à la maison
Quelque paroles d’une chanson ‘’ ho ma chère maison si belle si belle ho toi qui sommeille dans le vers vallon témoin d’un outrage enfui dans le vers bocage’
Dans un premier temps je vous parlerais de la maison de mon enfance. Je n’y suis pas née parait-il mais très petite j’y ai vécu passé mon enfance mon adolescence ma jeunesse pour m envoler a 2’ ans vers d’autres cieux à Namur plus précisément. J’oublie de dire que ma maison je dois dire plutôt nôtres maison, car elle était la maison familiale ou chacun chacune avait son giron.
Donc après l’avoir quitté 50 ans se sont passé et j’y suis retourner. Je voulais la restaurer la revitaliser après que temps de gens sens cœur et sens conscience l’on saccager habiter l’a privé de son âme. J’y suis retourner aussi parce que là je m’y sentais moins seul.
L’âme, la présence de notre maman me réconfortais dans les moments de solitude, puis elle serait fière de cette œuvre de restauration de remise en valeur plus chaleureuse plus confortables et répondant au exigence d’habitation des temps modernes.
Pour l’année de doctes, quand nous étions enfants et qu’il fallait sortir de son lit pour a la première heure se rentre à la messe puis a l’école, le gel de la nuit assez importante dans les Ardennes à l’époque s incrustait et formais de belle arabesque de toutes sorte au fenêtre, mais bon nous n’en sommes pas mort et peu cela a- t- il forgé notre caractère d’ardennais têtue peut-être mais pas obtus.
Voilà pour la maison de mon enfance. En suite ma vie la plus longtemps s’est passé dans ma maison a Charleroi ‘ pays de Charleroi c’est toi que je préfère. Entre ses deux maisons et ses deux périodes de vie une parenthèse de 20 ans environ dans quelques casernes.
Mon autre lieu de vie aussi structurant et essentielle c’est ou je suis actuellement depuis 31 ans ; à la rue de la colline ou je débarque le 1 juillet 85 avec ‘arme ‘ et bagages bien sur mon cher fils de deux an qui l’année précédente avais fis un long voyage en venant d’Haïti, pour lui cette maison comme me disait la puéricultrice qui me le ramenais après la crèche c’était ça MAISON.
Voilà chère ami camarade apprenti de l’atelier d’écriture mon domicile que vous connaissez puisqu’il y’a quelque année j’ai fêter avec vous un anniversaire , vous m’épargner de dire le nombre d’année pour ne pas remuer le couteau dans la plait ( ce qui naturellement ne me rajeunit pas mais enfin il parait qu’on a l’âge de son cœur que grâce à vous elle est restée jeune et amical.
