Après avoir choisi la bonne plage sur le disque, Maryse se dirigea vers son homme, en posant les genoux de chaque côté de lui. Elle s'avança et déboutonna sa chemise en effleurant sa poitrine du bout des lèvres. Francis ferma les yeux et humait la fragrance envoûtante qu'elle portait pour l'occasion. Elle dénuda le torse de son homme, puis elle fit le même manège avec le pantalon.
La victime n'était dès lors que vêtue d'un slip blanc. D'un mouvement très félin, elle s'approcha du dernier obstacle entre elle et le sexe de son homme dont l'extrémité cherchait par tous les moyens à s'évader. Maryse se mit à mordiller la verge au travers du tissu bien tendu. Francis commençait à regretter de s'être caressé dans la douche. Son plaisir montait si vite que l'angoisse d'exploser avant même que la fête commence le gagna à mesure que son bourreau s'affairait tranquillement à exposer sa verge bien bandée.
Complètement nu, Francis la regardait se mouvoir langoureusement au son de la musique. Elle s'approcha de nouveau à quelques centimètres de sa belle queue bien rose en soufflant délicatement sur sa peau tendue. Elle sortit la langue pour en titiller la tête. Après plusieurs secondes de douce torture, elle fit disparaître son membre dans sa bouche provoquant un long soupir de plaisir chez Francis. La chaleur sur son sexe l'enveloppait tout entier et lui faisait oublier la température fraîche de la chambre.
Francis n'eut guère le temps de savourer son plaisir qu'il prit brusquement la tête de Maryse pour qu'elle arrête ses mouvements de va-et-vient.
— Je vais jouir si tu continues, lui dit-il en reprenant son souffle.
Maryse se releva, tassa ses cheveux de son visage, et sourit. Puis elle alla fouiller dans le sac noir pour en sortir l'ensemble de sangles rouges.
Celui-ci comprit que son supplice venait tout juste de commencer et il se prêta à son jeu en se laissant ligoter. Maryse prit bien soin d'attacher solidement les poignets de sa victime aux barreaux de la tête de lit avec l'aide des mécanismes de fixation des courroies.
Elle se pencha au-dessus du sexe de sa victime et l'embrassa. Francis se remit à geindre. Maryse fit alors un pas en arrière et s'étendit sur l'autre lit, penchant sa tête par en arrière tout en ouvrant les jambes.
— Yan, tu peux sortir, lança-t-elle en direction de la salle de bain.