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D'abord quelques lignes pour décrire la véritable histoire du papier et  de sa création  en l'an 105 après JC un chinois ministre de l'agriculture avait élaboré un produit a base de chanvre et d'écorce de mùriers après les avoir trempé dans l'eau créa la pàte a papier entre chaque couche il intercalait des filets pour maintenir celles ci ensemble ,progressivement il étendait son procédé en utilisant d'autres fibres végétales surtout du bambou c'est au 12ème siècles que le Japon fabricait le papier au 13ème siècles c'est la Mongolie, la Perse et l'Arabie peu a peu par l'intermédiaire de ceux ci il arriva en europe par l'Espagne c'est en l'an 1000 que les premiers moulin à eau furent construit exactement a séville et à cordoué; en l'an 1250  l'Italie construit un moulin a eau la première ville est fabriano puis au 14ème c'est en France.A Thuin il fut construit quand Gutenberg inventa l'imprimerie on est en 1445 mais on était attaché à l'ancien comme les peaux de moutons et surtout le vélin( peau ultra fine d'agneau mort né ) jusqu'au 18ème siècles le papier est fait a la main .                                                                                                                                                                                                                                                                                                             alors que l'aube se lève a peine  que le bruit des sabots arpentent déjà mèlés a celui des chevaux qui remontent vers la ville haute pour le marché populaire, les ouvriers  marchent silencieux dans les rues pavées d'un pas pressé ils se dirigent vers l'atelier de papier situé dans l'imprimerie mème construite dans la ville de Thuin plutot batelière car le commerce tournait autour du canal qui se trouve a la ville basse d'ici on entend le brouhaha de la ville les cris des maraichers encore bourrus de la veille hurlent sur leurs ànes trop chargés et trop fatigués pour avancés.arrivée a l'atelier hélene s'émerge aussitot a la découpe du tissu qu'elle prend dans des sacs de jute et sur une lame éguisée a blanc elle l' arrache carrément le tissu pour en faire des morceaux de plus ou moins trois centimètres ses doigts frolent chaque fois la lame mais elle a prévu de les protéger avec des bandages en lin chaque morceau est jeté dans un bac d'eau avec un mélange nauséabond a base d'huile de poisson. Hélene verse le tout dans une espèce de presse-a- tissu à quelques mètres alimentée par une roue a eau  actionne  des marteaux en bois qui frappent  inlassablement toute la journée dans un fracas perpétuel ils martellent sans cessent les fibres de coton pour les affinés au fur et mesure ceux ci disparaissent comme happé par cette machine infernalle l'eau devient blanchàtre et crèmeuse d'où une puanteure cadavèrique se dégage hélen avant de commencer s'était mise un tablier de cuir pour ne pas moullier sa robe mais cette odeur l'a suit d'ailleur une brok de bois pince son nez et un mouchoir devant sa bouche minimise l'entrée de ses fumets pas trop alléchants de plus des boulettes de coton dans les oreilles l'empèche d'entendre les conversations; certains s'afférent a sortir la pàte avec des tamis construit de plusieurs dimenssions de papier d'autres s'activent a sèché les feuilles sur des grosses couvertures en laine de mouton se qui les empèchent de se coller car le tissu est végétal et le mouton animal donc pas de connection entr'elles .Le plongeur c'est le Marcel, bon mangeur rien ne le dérange mème pas ses odeurs, toute les heures il sort des bacs cette mélasse dégoutante la chemise retroussée  reconnaissable par ses bras rouge sang a cause des gerçures dùes au froid de l'eau, juste  avant de plonger il les enduit de graisse pour soit disant  protèger mais rien ne sert a empécher ça il a bien penser a baisser ses manches mais c'est encore pis alors il s'y fait le Marcel  la faim le tenail midi est passé depuis belle lurette mais la cadence n'a pas suivi ont soupera a la place  Hélene s'aperçoit que son sac est presque vide et décide d'aller en chercher un a l'hangard ils ont été déchargés après les avoir amenés en charettes tirés par deux chevaux de trait mais hélene doit  le prendre , il pèse au moins à l'oeil  cinquante kilos tapant impossible de le soulever hélen le tire de toute ses force ,elle appel Marcel a son secour et ensemble le ramène a l'atelier la journée touche a sa fin il est temps de se préparer hélen enlève son tablier de cuir ses doigts sont libèrés sa bouche débaillonnée du mouchoir et son nez peu respiré maintenant le soir va tomber la rue devient alors peu sùre a cette heure les hommes sont de sorties et les bars sont plein d'ivrognes près a se ruer sur les femmes qui passent alors hélen accélère son pas;la fatigue se faisant sentir elle aspire a un lit douillet mais le chemin est encore long en générale elle ne se couche pas avant minuit quand son mari est là en attente de le voir ,elle reprise ses chaussettes ,prépare son souper souvent des patates à la cendre et un sorèt bien gras qui tiendras au corp .comme casse- croute du pain de seigle et un bout de fromage au lait battu seront préparés pour le lendemain matin comme çà elle pourra dormir un peu plus , puis elle fait sa lessive a la main ces vètement sècheront sur des chaises de bois près de la cheminée voilà la vie d'une petite ouvrière d'imprimerie qui rève d'un avenir  meilleur et qu'un jour son atelier deviendra un  musé qui dévoilera combien il était pénible de travailler le papier je dis merci a Hélen Marcel et tous les autres pour nous permettent d'écrire ces beaux textes sur des belles feuilles blanches;   mais demain hélen va devoir travailler a un autre poste pas moins bruillant mais beaucoups plus interessant, elle va gagner quelques sous en plus car ce travail est plus délicat elle va devoir former des mots a l'envers mais avant elle devra prendre dans des bacs de bois des lettres en acier les placés mots par mots pour l'imprimer elle fera ainsi conaissance avec l'imprimeur et l'imprimerie.Ensembles ils deviendront complémentaires a la place de l'eau dégoutante elle aura les odeurs d'encre et surtout des vètements tachés heureusement hélene avait pu apprendre a écrire et lire avec sa tante pauline  qui était 'institutrice,et dans son atelier on avait eu vent de sa capacité de vouloir aller plus loin, pourtant ce poste était destiné aux hommes mais ses connaissances lui avait servi alors elle na pas refusé après quoi hélen se dit qu'elle a de la chance car on lui dira madame puisqu'elle sera reconnue au mème titre que ces messieurs les imprimeurs on le sait a ce temps là si l'on avait du savoir on n'avait droit a cotoyer la noblesse et plus tard beaucoups plus loin de ce siècle  on verra s'instaler la compétivité qui achèvera tous ces  nobles imprimeurs pour les remplacer par des supers rotatives a l'allure industrielles adieu hélene et tous les autres qui on donné tous leur amour dans leur métier.A nous de ne pas les oublier. 

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