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Avec les femmes, on n’oublie le calme.

A cause des femmes, nous devons oublier les moments où nous pouvions nous affaler sur le divan à contempler un match de football tout en mastiquant nos bijoux de familles.

A cause des femmes, nous sommes tenus de vivre non pas avec elles mais comme elles. Elle nous force à nous habiller de la manière qui leur convient le mieux et si nous avons le toupet de faire une légère réflexion sur leur tenue vestimentaire, voilà qu'une nouvelle guerre commence.

Les femmes nous poussent vers l’homosexualité. Je m’explique. Elle nous oblige une fois casé avec elles de ne plus fréquenter d’autres femmes. Du coup, nous sommes contraint de côtoyer que des hommes ce qui nous amènent à apprécier de plus en plus les contacts physiques masculins.

Les femmes nous veulent du bien, en tout cas c’est ce qu’elles pensent. Elles pensent nous connaître mieux que nous. Elles pensent que ce qui serait bon pour nous c’est de faire ce qu’elles désirent, de penser comme elles, de pratiquer une vie de tous les jours d’une manière efféminé tout en nous castrant dans nos élans de jalousie.

Les femmes ont toujours raisons, même lorsqu’elles ont tort. Même lorsqu’elles admettent qu’elles ont tort, on sent un côté « mauvaise foi » : « Oui c’est ça t’as raison ».

Les femmes, on ne peut pas vivre avec on ne peut pas vivre sans. Nous sommes en quelque sorte victime du tourment naturel des choses. Nous sommes contraints de vivre avec elles si nous désirons satisfaire nos pulsions sexuelles ou même simplement nous reproduire afin de ne pas amener le monde à l’extinction de la race humaine. Elles jouent de nous tout en faisant croire que nous jouons d’elles.

Les femmes vivent des vies de malheur, où elles vivent leur insatisfaction matrimoniale sans lever la moindre préoccupation des nôtres. Constatant purement et simplement que de vivre ensemble est une contrainte pour l’un comme pour l’autre, mais de continuer à persister sur cette voie.

La femme est la première à dire des phrases du genre : « Les hommes, tous les mêmes. » et pourtant d’insister à vivre avec ceux-ci. Nous les hommes, nous ne critiquons jamais les hommes et pourtant nous vivons qu’avec des femmes.

La femme a la critique facile – que dis-je – elle est magnétisée par la rumeur, la polémique et le grief. Vaguant d’une histoire à l’autre à la recherche du sensationnel et du dénigrement. La femme est une glossatrice (commentaire critique) naturelle, cousine germaine du commentaire et de l’apostille (note en marge d’un acte juridique). La femme s’abreuve d’observations malintentionnées lui permettant de régurgité des « on-dit » et autres verbes dangereux.

Quand la femme boude, le monde la suit. De peur des représailles et des désagréments qu’elle pourrait lui apporter et dont elle a le secret. La femme n’est pas l’égale de l’homme, elle lui est supérieur en bien des points. Elle propulse ses intentions vers tout ce qui l’entoure et aucune barrière logique ou cartésienne ne lui résiste, démontant toute chose qui viendrait lui faire obstacle.

La femme est riche de propos, de connivence et de stratégie malsaine. Elle sait séduire lorsqu’il le faut, enfoncer le stratagème même au détriment de ses plus proches. La femme se suffit à elle-même, laissant croire un élan de bonté à vouloir nous fréquenter. Elle se veut tantôt victime et bourreau à la fois et tantôt défenseuse de la veuve et de l’orphelin. La femme s’accoutume de ce qui l’entoure et de ce qui est visible et invisible à la fois. Elle a une vision du monde que même le monde n’a pas, définissant son contexte comme nulle ne pourrait le faire.

La femme a compris ce que personne ne peut comprendre, elle a un mécanisme de réflexion trop complexe pour être compris, une spirale d’infinité vers le chaos « réflexionnaire » de l’incomprise complexité des bas-fonds tentaculaires de l’impasse existentielle.

Bref, la femme est difficile à vivre, tellement difficile que lorsque j’atèle à la décrire, je m’enfonce dans des explications inexplicables. Je crois que j’aime ça. La femme au travers des épreuves qu’elles nous font vivre, nous permettent à nous les hommes d’être plus philosophe et d’accepter mieux la vie comme elle est.

La femme est une source d’épanouissement pour toute l’humanité. Dans le bien comme dans le mal qu’elle apporte, il y a toujours un bien dans chacune de ses actions, à vous de le comprendre ou de la comprendre.

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